Voici un petit constat qui est très intéressant.
Un petit constat, à propos d'un risque énorme.
Voici les chapitres de cette article :
* Introduction - le risque, les personnes concernées
* Le risque - bien comprendre l'entourloupe -
Dispersion des
clients dans l'instant
* Le risque - bien comprendre l'entourloupe -
Dispersion des
clients dans le moyen terme
* Le risque - bien comprendre l'entourloupe -
Favoriser les
gros concurrents, avec les informations
*
Les dégâts, de perte de clientèle, sont énormes !
* Un principe clé dans les affaires :
des partenariats entre
égaux, et du commerce équitable
* Rapport de taille, rapport d'intérêt et de puissance, ... et
intérêt
commun ?
* Les CCI font la promotion de Google, de Facebook, pour les
commerce-TPE-PME
* Les dégâts, aussi dans les grands groupes et grandes enseignes.
*
Les solutions, pour éviter les dégâts
* Le partage, le don, la générosité.... et le commerce.
Introduction - le risque, les personnes concernées
J'aurai pu titrer : "commerçants, PME,... : sur Facebook, Google,
vous vous faîtes rouler dans la farine !".
Mais cela n'aurai pas été juste.
D'abord et avant tout parce que ce ne sont pas les entreprises
Facebook ou Google qui roulent les commerçant-TPE-PME dans la
farine.
Ce sont les commerçant-TPE-PME eux même qui vont chercher les
mauvaises situations, et les problèmes, en allant volontairement
et avec un total consentement, s'inscrire et utiliser les services
de FaceBook ou Google, pour leurs activités et en particulier pour
leurs actions de communication et action commerciale.
Cf :
cri
: les gens adorent ça ! (la
colonisation-par-les-services-numériques)
Deuxièmement, parce que les plus commerçant-TPE-PME habiles
peuvent aussi très bien tirer leur avantage sain et énorme, de
l'utilisation des services,... sans se faire avoir dans l'affaire.
Ce n'est qu'un risque, pas une fatalité (c'est bien, ça, non ?).
Bref, vous l'avez compris, en écrivant : "le risque est énorme",
c'est plus juste, comme expression, .... même si cela implique, de
fait, que dans beaucoup de cas, c'est vraiment une mauvaise
affaire, que d'aller utiliser, pour son commerce, ou pour sa TPE-PME, ces
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
Par ailleurs, on peut dire "FaceBook, Google", mais cela est
valable pour toutes les plateformes de services qui sont
mondiales, (ou très vaste géographiquement).
Et surtout, pour toutes les plateformes de services qui sont
centralisées, donc qui ont comme modèle d'affaire (modèle de
business, pour ceux qui veulent parler à la façon....
business....) de centraliser les services, et les informations,
pour, notamment, récupérer et revendre au plus offrant les
informations, les espaces de publicités, etc....
Des exemples ?
TripAdvisor, les sites de chambres d'hotes (qui fonctionnent plus
par a pub que par les recettes des abonnés,.... donc ceux
gratuits...), ... et toutes les plateformes de commerce qui sont
gratuites, et se rémunère sur la publicité et a vente des
informations.
Des exceptions ?
Il y en a plein.
par exemple :
https://www.acheteralasource.com/
https://www.cagette.net/
Les commerce-TPE-PME concernés : ce sont tous ceux qui
communiquent et vendent, pour leur activités professionnelle, en
utilisant l'internet.
C'est à dire les artisans, les commerçants, les prestataires de
services (garagistes, chauffagistes, peintres, avocats, juristes,
comptables,....).
Ce sont aussi les producteurs de produits locaux, qui vendent aux
particuliers, et aux commerce-TPE-PME localement.
Le risque - bien comprendre l'entourloupe - Dispersion des clients dans l'instant
Le modèle d'affaire de Facebook, Google et des
services-numériques-centralisés-et-mondiaux, c'est de vendre de la
publicité à ses utilisateurs.
Et de vendre des informations juteuses aux plus offrants.
C'est bien connu, et il suffit de consulter leurs publication
(publiques) pour les investisseurs et obligatoire pour proposer
leurs actions dans les bourses américaines (ou Française
aussi,....).
Donc, quand les gens vont sur Facebook, le but de Facebook ou
Google, c'est de leur présenter de la publicité.
Un commerçant, par exemple, fait une page Facebook pour son commerce (local, de proximité, service et sourire,...).
Question : Quand un des clients du commerçant vient voir ce qu'il a
publié, ou vient chercher le numéro de téléphone pour l'appeler, qu'est ce que vous croyez que Facebook fait ?
Qu'est ce que Facebook présente à l'utilisateur (c'est à dire à ce client de ce commerçant) ?
Il présente de la publicité pour d'autres choses, et pour d'autres commerçants (et pourquoi pas l'hypermarché du coin).
Il invite très efficacement le client à aller vers d'autres
commerçants, d'autres TPE, .... que celle que le client venait
consulter.
Concrètement : un commerçant fait une belle page pour les oeufs de
Pâques qu'ils vient de créer, tout beaux,.... le client vient
voir,... et habilement, Facebook lui propose de la publicité pour
d'autres commerçants, d'autres chocolats, d'autres friandises.....
Génial !
Le commerçant peut s'étonner, ensuite, sur le moyen terme, de voir
les clients se disperser vers des tas d'offres différentes, ....
et vers ses concurrents !
Et cette mécanique infernale, elle marche super bien !
La preuve ?
Il suffit de regarder le chiffre d'affaire de Facebook, de Google,.... pour constater que cette mécanique fonctionne très bien.
Ne regardez pas le bénéfice, .... c'est trop horrible (âmes sensibles, s'abstenir....).
Bref, les dégâts sont considérables.
Le risque - bien comprendre l'entourloupe - Dispersion des clients dans le moyen terme
Déjà, cf ci dessus, le risque et la dispersion des clients, dans
l'instant de la consultation, est énorme.
Mais en plus, c'est encore plus efficace sur le moyen terme.
Il faut penser à la "trace-de".
Le client laisse des
trace-des-consultations, des
trace-des-fournisseurs-preferes, des trace-des-goûts.
Qu'est-ce que va faire un FaceBook, un Google, un TripAdvisor, de
cette information ?
Sur le moyen terme, il va tirer avantage de ces informations, pour
amener le client vers des offres de tas d'autres commerçants,
grandes chaines etc...
Ils vont utiliser leurs moyens subtils, et très efficaces, ...
pour orienter le client,.... vers autre chose que le
commerce-TPE-PME qui avait mis sa page chez eux....
Et ils sont très fort pour faire cela !
Ils utilisent les goûts des gens, les timings, les habitudes,....
pour proposer de manière redoutable, d'autres offres.
C'est leur argument de vente de leur publicité, de leurs actions.
Et leur clients, qui leur paient des millions d'euros tous les
ans, ... en sont visiblement très content, parce que ca marche
très bien pour récupérer des clients.
Le risque - bien comprendre l'entourloupe - Favoriser les gros concurrents, avec les informations
Dernier point : ils collectent l'information, et en font une très
belle soupe, que les gros concurrents vont acheter (un bon prix,
cf les chiffres d'affaires de facebook, etc...), pour mieux mener
leur actions marketing et commerciales.
En mettant leur pages sur FaceBook, en utilisant les services
de publicité de Google, les commerce-TPE-PME donnent à ces
Facebook, Google et autres
services-numériques-centralisés-et-mondiaux des informations d'une
grande valeur, sur leur clientèle, sur les habitudes de leur
clientèle, sur les goûts de leur clientèles,.... et sur les
dynamiques d'évolutions de leur clients.
Pour faire court : ils leur donnent les informations les plus
importantes sur leur clients,.... ils leur ouvrent la porte pour
accéder à leur clientèle..... et donc leur chiper !
Et les concurrents, les grandes enseignes, etc... peuvent se
régaler, de toute cette information, précise, sur le marché, sur les
clients de leur petits concurrents.... pour mieux mener leurs actions et
récupérer les clients de leur petits concurrents.
En mettant une page sur Facebook, et en alimentant cette page, les commerce-TPE-PME "partagent" les informations sur leurs clients, avec leur gros concurrents.
Ils ouvrent litéralement leur clientèle à leurs concurrents, et surtout leurs plus gros concurrent, qui ont les moyens d'acheter ces informations (et ne s'en privent pas).
Les dégâts, en terme de perte de clientèle, à moyen et long terme, sont énormes, pour les commerce-TPE-PME.
Les dégâts, de perte de clientèle, sont énormes !
Comme c'est décrit, ci dessus, dans les trois chapitre : les
dégâts de perte de clientèle sont énormes.
Et c'est un constat simple à faire : ca marche très bien, toute
cette mécanique ...
Elle a été inventé pour cela.
Par ailleurs, en terme de constat, bien factuel, bien flagrant, il
suffit de constater d'une part les chiffres d'affaires et les
bénéfices des Facebook et autres
services-numériques-centralisés-et-mondiaux,
Et il suffit de constater ce qu'achètent, et à quel prix, les grandes enseignes commerciales, les
grands groupes, les grosses entreprises, en matière de publicité et
informations marketing (auprès des services-numériques-centralisés-et-mondiaux).
Vu les montants en jeux, vu les résultats, pour les grands groupes, les grandes enseignes,....
il est facile de constater que "ca marche très bien,... pour eux...", et que l'ampleur de leur avantage est énorme.
Les dégâts sont énormes, ... pour les commerce-TPE-PME.
Un principe clé dans les affaires : des partenariats entre égaux, et du commerce équitable
Il y a un principe clé, dans les affaires, c'est qu'on fait des
partenariats entre égaux.
Pas entre entreprises ou activités qui sont disproportionnées,
l'une par rapport à l'autre, et avec l'un qui a un avantage
énorme, voire une suprématie, sur l'autre.
Par ailleurs, sa traduction, sur le plan commercial, c'est qu'on
fait du commerce équitable.
On parle beaucoup du commerce équitable pour les grandes
compagnies d'agroalimentaire, et les petits producteurs de café,
de cacao, de bananes....
Et bien là, on va pouvoir parler de commerce équitable entre les
grosses compagnies de services-numériques-centralisés-et-mondiaux ...
et les commerce-TPE-PME.
La manière de faire actuelle, ce n'est pas du commerce
équitable entre les grosses compagnies de
services-numériques-centralisés-et-mondiaux ... et les
commerce-TPE-PME.
La preuve est simple à constater, elle est factuelle : les
grosses compagnies de services-numériques-centralisés-et-mondiaux
font des bénéfices (après investissements, mais avant impôts -
dont ils ne payent pas des grosses sommes) de l'ordre de 40 à 50
% du chiffre d'affaires.... c'est à dire des bénéfices énormes.
C'est bien les bénéfices,.... c'est une très bonne chose.
C'est bien, un commerce florissant, surtout au niveau mondiale,
quand on tient un commerce de
services-numériques-centralisés-et-mondiaux (ce qui n'est pas
simple).
Ce qu'il est important de voir, c'est que les ventes de services
ne sont pas équitables.
Autrement dit :
"
ils-nous-donnent-bien-peu-par-rapport-a-ce-qu-ils-nous-prennent".
Vous pouvez lire plus de détails, sur cette page :
colonisation-par-les-services-numériques - ils-nous-donnent-bien-peu-par-rapport-a-ce-qu-ils-nous-prennent.
Après, chaque commerce-TPE-PME fait ce qu'il veut.
Rapport de taille, rapport d'intérêt et de puissance, ... et intérêt commun ?
Il y a un rapport de taille (de chacun), d'intérêt et de
puissance, qui est énorme, entre les commerce-TPE-PME, et les
Facebook, Google, et autres
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
Je ne vais pas y aller par 4 chemins : les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux, ils n'en n'ont rien à
faire, des commerce-TPE-PME, au niveau individuel.
Ils s'en foutent, des commerce-TPE-PME, au niveau individuel.
Ils ont des objectifs, et des intérêts, qui n'ont rien à voir avec
chaque commerce-TPE-PME, au niveau individuel.
Pour le dire simplement : eux, ce qui les intéresse, c'est d'avoir
les clients, et les commerce-TPE-PME, qui leur donnent leur infos,
au niveau globale, sur leurs activités, leur goût, leur rythme de
proposition de nouvelles offres de produits, etc....
Ils s'en foute, que le commerce-TPE-PME, au niveau individuel,
mène ses actions commerciales, et fasse ses ventes.
Les services-numériques-centralisés-et-mondiaux, n'ont que très peu
d'intérêts en commun, avec chaque commerce-TPE-PME, au niveau
individuel.
A mon avis, les affaires ne peuvent pas être bonnes, si les petits
essaient d'utiliser les gros.
Les CCI font la promotion de Google, de Facebook, pour les commerce-TPE-PME
Voici un exemple : CCI BAYONNE PAYS
Cf ces conférences et formations :
https://www.bayonne.cci.fr/Performance-numerique/Conference-PLUS-DE-CLIENTS-SUR-VOTRE-SITE-INTERNET-LES-12-LEVIERS-EXPLOITABLES-EN-2018.html
Extrait de la présentation : "Notre objectif en programmant cette conférence est simple : vous
offrir un panorama des différents leviers à votre disposition pour
attirer plus de clients sur votre site web. Un bon référencement
Google, certes, mais pas seulement ..."
"L'objectif pour vous est de comprendre le potentiel de ces leviers
de business, pour décider du bon mix pour votre entreprise, et
faire appel à des compétences internes ou externes, en
connaissance de cause. Cet atelier s'adresse autant au décideur de
l'entreprise qu'à ses collaborateurs."
"60 € HT la conférence."
D'après le descriptif, il est évident qu'ils vont présenter le modèle
d'affaires de Facebook, de Google, et qu'ils vont en présenter les
tenants et aboutissants, pour les commerce-TPE-PME.
C'est évident qu'ils le font......
C'est évident que dans les CCI, ils vont bien mettre en garde
les commerce-TPE-PME, à propos de leur utilisation de Facebook,
Google, et des services-numériques-centralisés-et-mondiaux, et du
commerce non équitable qui se produit sous vos yeux, ainsi que
des dangers, pour la clientèle du commerce-TPE-PME.
C'est évident que les CCI, elles expliquent aux
commerce-TPE-PME, que, quand ils font une page FaceBook, ou
qu'ils s'appuyent (en payant ou pas), sur Google, ils donnent à
ces Facebook et Google l'avantage d'en savoir beaucoup sur leurs
clients, sur leurs goûts et habitudes,.... et que les Facebook
et Googles font leur beurre de revendre ces informations à leurs
concurrents directs des commerce-TPE-PME (les grandes enseignes, la grande
distribution, les vendeurs de chaussures sur internet, les vendeurs de matériel de bricolage sur internet, etc.... au plus offrant...).
Vous pensez bien qu'une CCI, c'est là pour ça.
Bon, si jamais, par hasard, ils ne le faisaient pas, et si, par hasard,
vous connaissez quelqu'un chez eux,.... vous pouvez leur dire qu'à
Eauze, il y a des conférences sur le sujet.
Et qu'il y a des publications sur le sujet, tout est disponible,
en
licence Creative Commons - Attribution et Share-Alike, sur le
site :
www.les-cris.com.
Les dégâts, aussi dans les grands groupes et grandes enseignes.
Depuis cet été, ca renacle, ca râle, clairement, chez les grands
groupes, et les grandes enseignes, concernant les services des
facebook, google, twitter, et autres
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
Les grands groupes, et les grandes enseignes ont mis sur la table
des questions sur les résultats des services de publicité et
d'informations, sur leur validité, sur leur valeur.
Vous avez pu lire, entendre, voir ces choses là dans les média.
Sans entrer dans les détails, il est très intéressant de voir que les
grands groupes, et les grandes enseignes ont aussi constaté
quelques "petits problèmes", dans les belles mécaniques des
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
A suivre,.... c'est intéressant de voir l'évolution du monde.
Les solutions, pour éviter les dégâts
Pour un commerce-TPE-PME, les solutions sont simples, pour gérer
ses relations et ses utilisations des
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
Et pour éviter les dégâts décrits ci dessus.
En voici une liste, rapidement présentée :
-
Utiliser des services-numériques-distribués-et-locaux - non centralisé, non décentralisé, distribués et locaux
il y en a plein, comme les service des hébergeurs CHATONS
(https://chatons.org/),
et comme les plateformes de services qui sont locales, et non
centralisées.
C'est
l'internet qui est mondial, pas le service machin de la multinationale, donc pas besoin de multinationales pour profiter du mondial.
Voir : internet-est-mondial-le-fournisseur-de-service-est-local
Un commerçant local n'a pas besoin des services d'une multinationale,...
et se fout d'être visible au Pakistan, ou au Pérou : il n'a pas besoin de réseaux social mondial, ...
mais d'un réseaux social local, qui ne revend pas les informations à ses concurrents.
-
Utiliser son propre site internet, son propre email, en mode simple, basique, mais "à soi" (nom de domaine du commerce, etc...).
Déposer son nom de domaine, et faire ses outils de communication en mode "à soi", etc....
Ne pas utiliser des emails "gmail.com", "hotmail.com", "orange.fr", "wanadoo.fr" (c'est encore utilisé par de nombreux commerces !!!.... en 2018... )
Tout cela ne coute pas cher, c'est facile à faire faire,.... ca coute bien moins cher qu'une devanture de magasin, moins cher que le chauffage des locaux d'une TPE.....
Certes, pour que cela soit facile, il faut être bien conseillé,... cf ci-dessous.
-
Utiliser des "plateformes" et sites locaux de regroupement, de mise en avant (ranking naturel dans les moteurs de recherches,...).
Utiliser des "plateformes" locales. Il y en a plein, comme par exemple les sites des offices du tourisme, des mairies, etc...
Si besoin : faire des regroupements de sites, sous forme de "plateformes" locales.
Un exemple factuel, bien concret, qui existe déjà :
Site de l'office du tourisme de Mimizan
Il suffit de taper "chambre d'hotes mimizan" sur n'importe quel moteur de recherche (Qwant, Duckduck go,...) pour qu'ils apparaissent en premier sur la première page (sans avoir payé pour cela...).
Pas besoin d'une plateforme mondiale pour trouver une chambre d'hotes à Mimizan....
Un exemple des multiples réalisations à faire, bien concreètes :
Par exemple les sites de l'association des commerçants de la ville, les sites des mairies,
le site de l'office du tourisme,.... pour regrouper les commerçants, les mettre en avant, et surtout, avec des liens vers leur sites, etc...
-
Bien comprendre la technique et les tenants et aboutissants des
services-numériques-centralisés-et-mondiaux, pour les tourner à son
avantage (et rééquilibre le commerce avec eux).
S'informer, réfléchir à ce qu'on attend de ses services, se faire conseiller sur les parties que l'on ne connait pas (ou pas bien).
Ne pas croire qu'il suffit d'acheter les services numériques, ou d'acheter la réalisation d'un site internet.
C'est comme avec les voitures : vous pouvez acheter une belle voiture, avoir un bon garagiste,... il faut aussi apprendre à conduire, ... et savoir où on veut aller, et par où on va passer.
Et donc, en particulier, quand un commerce-TPE-PME se fait accompagner pour faire, ou pour utiliser les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux., il est nécessaire d'appliquer le principe de
séparer-la-vente-du-service-de-la-vente-du-produit.
Voir ce chapitre, pour les explications sur
séparer-la-vente-du-service-de-la-vente-du-produit, ainsi que ce chapitre :
Comment bien acheter un service de réalisation de site internet, et de services numériques.
C'est à dire : ne pas se faire conseiller comment utiliser Google,
par des gens qui vous font la mise en place, et vous vendent les services de Google.
C'est à dire : prendre le conseil, chez l'un qui vous fait le conseil, et vous prescrit ce dont vous avez besoin....
et acheter la mise en place, la réalisation, chez un autre, qui ne fait que cela.
On enfonce des portes ouvertes du commerce et des affaires (et de la conduite de projet), avec
ce genre de conseil, ... mais il faut visiblement le faire,
puisque les commerce-TPE-PME ne le font vsiblement pas comme cela.
-
Bien reflechir et bien utiliser les conseillers,....
Une technique pour stimuler la réflexion : multiplier les sources
d'information, de conseil.
Par exemple, vous avez, d'un coté, la CCI qu a l'air d'avoir
vraiment tout bien tout compris,.... et bien, .... cela est bien
de multiplier les sources, aussi, en plus,.... et peut être, c'est
bien d'aller voir, aussi, d'autres sources de conseil aussi en
plus, .... on ne sait jamais....
D'une manière général : se tenir informé, sans faire trop
d'effort, au fil du temps, .... et glaner les conseils, qui sont
"partagés" si facilement dans notre société de l'information,....
et acheter du conseil aussi, ca fait une source de conseil de qualité,
et différente, par rapport aux conseils gratuits.
-
Se démarquer, ... comme d'habitude, dans le commerce-TPE-PME local.
Se démarquer géographiquement, avec l'internet, c'est moins
intéressant qu'avant.
Se démarquer en utilisant judicieusement les moyens internets,
.... c'est plus intéressant.
Par exemple, en utilisant les "adresse-privee-adresse-publique
... et adresse-message.".
-
Ha oui, et arrêter de réver qu'on va avoir les avantages et
des tonnes de clients, comme si on avait sa devanture sur les
Champs-Élysées, ou au centre commercial Belle-Épine, sans en payer
le prix, et en croyant qu'internet ou les services sur internet, c'est magique.
La beauté du commerce-TPE-PME, local, c'est qu'il n'est pas la
grande enseigne, ou grands groupes nationaux, ou européens....
En même temps, le commerce-TPE-PME n'a pas les moyens, ni la
carrure, de jouer en face de ces grandes enseignes ou grands
groupes.
Il faut jouer à coté, .... localement,.... en utilisant les forces
local, et l'internet pour du local.
Ne pas rêver : on peut profiter de quelques effet d'aubaines, on
peut être habile et tirer les marrons du feux avec les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.... mais surtout si on
est pragmatique, habile dans ces domaines, et qu'on ne rêve pas...
Globalement, il s'agit d'utiliser l'internet, avec toute sa
richesse et ses multiples possibilités, dans le sens de ses
intérêts, en tant que commerce-TPE-PME, ... et d'éviter (comme
la peste) de se faire utiliser, en y perdant des plumes, par les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
Mettre les possibilités d'Internet, et des
services-numériques-distribués-et-locaux à son service, pour
favoriser vraiment son activité de commerce-TPE-PME.
C'est l'internet qui ouvre et facilite la communication, les
ventes,.... au niveau mondial,.... ce ne sont pas les société
mondiales, multinationales.
Le partage, le don, la générosité.... et le commerce.
Dans la société, en 2018, il est devenu usuel de parler de
"partage".
On partage sur les réseaux sociaux, sur internet, .... dans les
salons, dans les évènements qui rassemblent les gens.
On partage encore aussi autour d'une table, mais c'est dans un
autre sens, que le mot est utilisé, pour les réseaux sociaux,
etc.... puisqu'il n'y a pas de table.
On partage souvent des choses qui sont dans le domaine de
l'informationnel, ou de l'immatériel.
on ne partage pas aussi souvent des choses qui sont dans le
domaine du matériel.
Je ne vais pas développer, ici, ces notions de partage, qu'il faut
mettre en regard de ceux de don, de générosité, etc....
je le ferai dans un autre Mail_de_CRI.
Cependant, pour ces constats et réflexions sur le commerce, et
les services-numériques-centralisés-et-mondiaux, il me parait très
important d'attirer l'attention sur ce qu'on partage, et ce
qu'on ne partage pas, quand on mène ses activité dans un
commerce-TPE-PME, avec les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.... et avec ses
clients.
Bon, voili voilou..... c'est un beau Constat-Reflexion-Impulsion,
cette histoire de risque énorme, que prennent les
commerce-TPE-PME, avec les
services-numériques-centralisés-et-mondiaux.
En le terminant, je me rends compte que cela permet de bien
comprendre ce qu'il est en train de se passer, avec lucidité,....
et que cela permet de pouvoir bien éviter les dégâts.
A+
Les_emails_de_CRI_10
-------- Message transféré --------
Hello,
cf le mail ci dessous.
intéressant de voir que ces notions sont reprises dans des médias.
même si la question reste sans intérêt.
pour la raison toute simple que le label existe déjà, qu'il n'a
pas besoin d'utiliser le mot "bio" qui n'a rien à faire dans ce
domaine.
et quelques autres raisons, ... voir ci dessous.
**********************************************************************
pour le label, il existe déjà : les services des CHATONS
https://chatons.org/fr
Pour l'image amusante et significative, vous la trouvez là :
https://degooglisons-internet.org/alternative
et elle y est interactive !
vous pouvez cliquer sur la carte, pour trouver les alternatives "saines, non colonisatrices", des services.
Pour le mouvement, il est déjà actif depuis deux ou trois ans :
https://degooglisons-internet.org/
**********************************************************************
pour la raison la plus importante, à mon avis, de vivre en dehors
des services qui colonisent les populations : voici les éléments :
/pages-010-quelques-articles-2018/cri-pensee-du-jour-171103-l_intelligence-artificielle-sera-a-la-vie-quotidienne.php#colonisation-par-les-services-numeriques
le tag aussi existe depuis cet été (je crois, de mémoire) :
colonisation-par-les-services-numériques
**********************************************************************
c'est vraiment intéressant de voir que, enfin, certains média
commencent à se poser la question, et à imaginer de pouvoir se
donner l'autorisation de fournir et d'utiliser des services qui ne
soient pas des services colonisateurs des populations.
cela n'empêchera pas les populations de préférer les services
colonisateurs,....
le bio n'empêche pas les gens, en général, de préférer les fast
food, les pizza surgelées, et autres plats préparés avec amour, et
qualité industrielle au top de son art.
il suffit de voir les proportions de vente dans chaque secteur,
bio, fast food, bouffe industrielle bien industrielle,...
la question, là aussi, est à coté de la plaque, à mon avis :
"permettant aux services respectueux de faire la différence".
ce n'est pas aux services respecteux ... de faire la
différence,... c'est aux utilisateurs, ....
c'est comme avec les bd d'astérix .... on n'a pas fini de rigoler
!.... ;-)
A+
Les_emails_de_CRI_10
-------- Message transféré --------
Faut-il créer un label « Internet bio » permettant aux
services respectueux de faire la différence ?
Dès mai prochain, les
données personnelles seront mieux protégées en Europe. Mais
comment informer l'internaute sur la réalité des choses ?
Puisque vous êtes venu jusqu'à ce bas de page... jusqu'à cette mention CC By-SA... j'en profite pour pointer un constat.
Il faut que j'écrive un article sur les licences Créative Commons (By-SA et les autres variantes) :
Les licences Créative Commons sont super importantes par rapport aux moissons des contenus par les fabricants de modèles de langages et de modèles pour IA générative.
Pour passer d'une forme de pillage à des moissons et à du commerce équitable, pour les contenus mis à disposition sur l'Internet.
Tout en gardant la publication sur le web : libre, vaste, variée,... mise à disposition du plus grand nombre...
Dès que j'ai un moment, je mets en place une page d'article sur ce point. Ce constat.